terça-feira, 22 de abril de 2008

Eugenio d'Ors e a Janela do Convento de Cristo

"Lorsque je présentai, à Pontigny, l'image de l'admirable janela de Thomar, un élan d'admiration souleva tous ceux qui étaient présents: il devait chez certains se traduire par une véritable crise intellectuelle (...).
L'aarchitecture baroque - consentirent-ils enfin - se distingue toujours par trois signes: d'abord, le
dynamisme, qui remplace les harmonies du repos par les intensités de l'agitation et (...) "les formes qui pèsent" par "les formes qui volent"; la profondeur ensuite, qui creuse les reliefs, pétrit les ombres et semble doter les structures architectoniques d'une nouvelle dimension: le sens pittoresque enfin, qui introduit dans l'architecture des éléments chromatiques, des éléments lyriques même qui jouent avec la lumière les jeux les plus variés de la fantasie, l'éparpillent, la font vibrer et chanter.
Ces précisions obtenues, la vision de notre fenêtre devait produire un effet fulminant. Où peut-on voir plus terriblement - j'allais dire plus follement - qu'ici, s'agiter les formes, se creuser les reliefs, chanter la lumière? En quelle oeuvre d'art du monde entier, le dynamisme, la profondeur, le lyrisme éclatent-ils aussi manifestement, pour le plus grand délice ou le pire scandal?"
D'Ors, Eugenio (2000),
Du Baroque, Paris, Gallimard (1ª ed. 1935), pp. 142-143.

segunda-feira, 21 de abril de 2008

"O importante é a rosa" (Saint-Exupéry)

"E a rosa é sem porquê" (Angelus Silesius).

"El barroco no ofrece en ninguna parte terminación, sosiego o quietud del ser, sino que introduce siempre la inquietud del devenir, la tensión de la inestabilidad. De ello resulta, una vez más, una impresión de movimiento.
Aquí aparece el motivo de la tensión de las proporciones.
El círculo, por ejemplo, es una forma absolutamente quieta y estable; el óvalo es inquietud, parece querer variar a cada instante, no da una impresión de necesidad. El barroco busca, por principio, estas "libres" proporciones. Lo que está determinado y lo que ha recibido una conclusión repugna a su naturaleza" (Wölfflin, 1991: 68)
"Lo que su arte quiere expresar, no es el ser perfecto, sino un devenir, um movimiento. Es por esta razón por la que la estructura formal se vuelve más suelta. El barroco no teme ni las proporciones impuras ni la disonancia en la armonía de las formas" (Ibid: 73).
"El arte del Renacimiento buscava alcanzar el estado de perfección y terminación, "cosa que la naturaleza no es capaz de producir nada más que en casos muy raros". El barroco actúa mediante la excitación del amorfismo" (Ibid: 75).
Wölfflin, Heinrich (1991), Renacimiento y Barroco, Barcelona, Paidós, 1ª ed. 1888.

Sonäka: The Art of Vodka, Plus et Plus, 2008